« Il y a eu beaucoup de changements », nuance le sélectionneur des Bleues, Laurent Bonadei, après la défaite en Suisse
Le sélectionneur de l'équipe de France Laurent Bonadei a tenu à nuancer la déception liée à la défaite concédée à Genève, ce mardi soir, face à la Suisse (1-2). Ce premier rassemblement à la tête des Bleues lui a permis de réaliser une large revue d'effectif.
« Un but particulier » pour Kelly Gago, qui fêtait sa première titularisation avec les Bleues contre la Suisse
Kelly Gago a vécu une première titularisation mouvementée avec l'équipe de France, mardi soir face à la Suisse (1-2), en match amical. L'attaquante de Nantes s'est d'abord révélée coupable d'une main qui a causé l'ouverture du score suisse sur penalty (25e) avant d'égaliser (34e).
Le groupe Eagle, propriétaire de l'OL, bientôt introduit à la Bourse de New York ?
Dans le cadre de son plan de recapitalisation, le groupe Eagle, propriétaire de l'Olympique Lyonnais et de Botafogo, souhaite être introduit à la Bourse de New York au premier trimestre 2025.
Au bout du suspense, Dortmund éliminé de la Coupe d'Allemagne à Wolfsburg
Défait sur le gong à Wolfsburg (0-1 a.p.), Dortmund est éliminé de la Coupe d'Allemagne dès les 16es de finale. C'est la quatrième défaite en cinq matches toutes compétitions confondues pour le club de la Ruhr.
Battue en Suisse, l'équipe de France concède sa première défaite sous l'ère Bonadei
L'équipe de France de Laurent Bonadei, très remaniée et sans ressort offensif, a confirmé ses lacunes défensives en perdant contre la Suisse (1-2), mardi soir à Genève. La première défaite avec le nouveau sélectionneur des Bleues.
Naples surclasse l'AC Milan et conforte sa place de leader de Serie A
En s'imposant 2-0 à San Siro face à l'AC Milan ce mardi, Naples s'installe confortablement dans le fauteuil de leader de Serie A. Trop maladroits, les Milanais n'ont pas su déstabiliser le bloc napolitain.
"C'est du niveau de Musiala ou Yamal" : Saka, crack sous-estimé ?
Buteur après une fantastique action face à Liverpool dimanche (2-2), Bukayo Saka est entré dans le Top 10 des joueurs les plus précoces à atteindre la barre des 50 buts en Premier League. Pour autant, sa place dans la hiérarchie mondiale et même anglaise semble sous-estimée. Pourquoi ? Réponse avec Philippe Auclair dans Tour d'Europe, à retrouver en podcast.
"De Zerbi ne doit pas avoir le syndrome Peter Bosz"
Complètement dépassé face au PSG (0-3), l'OM a montré un visage à l'extrême opposé du football prôné par son coach Roberto de Zerbi. En l'état, le coach marseillais n'a pas encore réussi à poser sa patte sur son équipe et le risque d'une greffe ratée existe. Explications des dangers qui guette l'OM avec Elton Mokolo dans Tour d'Europe, à retrouver en podcast.
Real, crise en vue ? "Dans le vestiaire, ça critique les gros salaires qui n'assument pas"
Laminé par le FC Barcelone samedi dans le Clasico, le Real Madrid a confirmé ses difficultés en ce début de saison. Si le cas Kylian Mbappé fait parler, le Français est loin d'être le seul souci d'un Carlo Ancelotti quelque peu "bloqué" dans son schéma tactique, comme l'explique Anna Carreau dans Tour d'Europe, à retrouver en podcast. (Real : H.Hiault / Q.Guichard)
Le Ballon d'Or 2024 a vu un des "joueurs de l'ombre" les plus brillants de la planète, Rodri, être sacré lundi. Lui le milieu de terrain, pas un joueur de stats, de grigris, et de mixtapes à tout-va, une antistar dans une cérémonie qui fait normalement la part belle aux Cristiano Ronaldo et aux Lionel Messi de la planète football. Et c'est une excellente nouvelle.
Rodri est un milieu de terrain génial, aux statistiques de buts et de passes décisives honorables. C'est aussi un milieu de terrain qui fait gagner ses équipes et surtout c'est le nouveau Ballon d'Or 2024. Lui qui est un joueur qu'on ne remarque qu'en prêtant attention au jeu, n'a jamais autant brillé que ce lundi. Sûrement parce qu'une fois sorti des terrains, le Citizen est un type normal.
Rodri a été élu 68e Ballon d'Or, dans une demi-surprise générale, ce lundi au théâtre du Châtelet à Paris. Alors que tout laissait penser que Vinicius serait l'heureux lauréat du titre de meilleur joueur du monde, les 100 journalistes votants ont porté leur choix sur le milieu de terrain de Manchester City. Le tout au terme d'une cérémonie boycottée par le Real Madrid.